Il n’est jamais prudent de foncer tête baissée dans un achat de voiture verte d’occasion. Les pièges tendus par le marché sont de taille qu’il est nécessaire d’assimiler les bons conseils avant de passer à l’action. Dans cet article, nous allons avancer quelques astuces efficaces pour acquérir un véhicule électrique d’occasion loin des risques.
Déjouer les mauvais tours du marché
Si l’on souhaite réaliser une bonne affaire, il est conseillé d’éviter les aides sous conditions. Ces dernières paraissent alléchantes, mais dissimulent des manigances qui sentent l’arnaque à plein nez. Ces types de contrats exposent des droits de rabais auxquels les clients n’auront jamais le plaisir de s’offrir. Un modèle proposé à 3 000 euros, par exemple, peut faire l’objet d’un rajout de 500 euros et batterie pour réduire le montant du véhicule. Une situation qu’il faut à tout prix éviter au risque de même plus. Toujours dans ce même cas de figure, le vendeur peut également proposer une location de louer la batterie avec une mensualité pouvant grimper jusqu’à plus de 100 euros.
Ce qu’il faut retenir dans tout cela, c’est que le marché n’est jamais notre allié. Il est important de bien évaluer les possibilités d’arnaques. Afin d’y parvenir, le mieux est de se faire accompagner par un expert ou un courtier en achat automobile. Pour aller plus loin à ce sujet, il est conseillé de parcourir le site www.voiture-verte.com.
Vérifier les paramètres techniques du véhicule
Quand on veut acheter tranquille, il est conseillé d’évaluer la voiture verte d’occasion point par point. La première chose à vérifier dans cette mesure est l’état de la batterie. Il est rare de trouver un modèle électrique d’occasion avec une autonomie impeccable. À ce point, le mieux est de se faire aider par un expert en mobilité électrique. En parallèle, il faut également tenir compte du temps de charge. Les barèmes trop optimistes sont à éviter. À chaque constatation de nouvelles installations, il faut se méfier. Face à cela, il est préférable de programmer une entrevue avec le vendeur pendant laquelle des tests peuvent être réalisés.
Les documents relatifs au parcours du véhicule vert d’occasion doivent être également passés au peigne fin. Ces derniers se réfèrent au carnet d’entretien, aux factures d’interventions et bien plus encore. L’idée est d’éliminer le plus de pièges possible.