TNS Sofres nous donne des clés de compréhensibilité sur ce que pensent les Français et ce qu’ils désirent vraiment dans le cadre des remboursements des soins du régime obligatoire.
Alors que pour plus de 6 Français sur 10, les remboursements apparaissaient corrects en 2007, seuls 53% d’entre eux les jugent convenables en 2011.
Une évolution négative
On voit que huit Français sur dix déclarent examiner de près leurs remboursements. Ce pessimisme concerne majoritairement les remboursements du régime obligatoire qui inquiètent ici plus de huit occupants sur 10. Les lunettes ou médicaments sont particulièrement dans l’esprit des Français.
Les assurance santé en soutient
On conçoit laborieusement de ne pas avoir recours à une mutuelle compte tenu de ce contexte. A ce titre, plus de quatre-vingt-dix pour cent de la population française ont une complémentaire et jugent qu’ils ne peuvent faire autrement. Par ailleurs, plus de 10% d’entre eux considèrent que remboursements et tarifs de leur assurance santé sont en adéquation.
Des soins repoussés par manque de moyens
Dans une étape de tension financière, le retardement des soins mal pris en charge devient usuel. Par conséquent, 25% de la population auraient déjà décalé un ou plusieurs soins pour des raisons d’argent. Les soins principalement concernés ont trait à l’optique et au dentaire. Il est donc plus que conseillé de détenir une mutuelle fiable et en accord avec sa situation. Effectuer un devis d’assurance santé est une bonne occasion d’en savoir plus sans s’engager.
En savoir plus sur Generali
Implanté dans l’Hexagone depuis 1832, Generali France connaît une forte croissance depuis une dizaine d’années plaçant le groupe généraliste d’assurances en deuxième position en France. Generali France compte plus de 10 000 agents généraux et collaborateurs qui proposent des solutions d’assurance à 800 000 professionnels et entreprises et à 6 millions de clients, particuliers ou bénéficiaires de garanties dans le cadre de leur activité. En 2010, son chiffre d’affaires s’élevait à 15,9 milliards d’euros.